Saviez-vous que certaine saintes écritures laissent supposer que Jésus était «limite alcolo»?
La théorie repose en grande partie sur certains passages bibliques, notamment celui-ci, écrit par Saint-Matthieu et qui dit : « Le Fils de l’homme (Jésus) est venu, mangeant et buvant, et ils dirent: c’est un mangeur et un buveur, un ami des gens de mauvaise vie.»; ou encore celui-là, relaté cette fois-ci par Saint-Marc: «Il arriva, comme il était à table […] et des pécheurs aussi se trouvèrent à table avec Jésus et ses disciples ; car ils étaient nombreux à le suivre».
Comme ont dit : «Dis-moi qui tu fréquentes…»
D’autres indices, qui abondent dans la bible, laissent plusieurs analystes perplexes quant à la possible consommation abusive d’alcool de Jésus. Ils font valoir, entre autres, que si Jésus a produit entre 120 et 160 litres de vin pour les célèbres noces de Cana, il est évident qu’il en approuvait – à tout le moins – sa consommation… Or afin de préserver la sacro-sainte réputation du Christ -malgré ce que rapporte la bible sur ces fameuses noces- certains soutiennent que le vin que buvait Jésus n’était pas fermenté, donc sans alcool. Il est cependant reconnu que les Juifs ne savaient pas, à cette époque, comment prévenir la fermentation du jus de raisin. Or comme le mariage eut lieu juste avant le printemps, soit six mois après les vendanges, le vin utilisé à Cana aurait eu amplement le temps de fermenter et de franchement s’alcooliser. À cet effet, selon Saint-Jean, le maître du banquet de Cana aurait constaté que « les invités étaient ivres».
Ouï-dires? Faits vérifiés? On ne le saura probablement jamais…
Une fois la fête terminée, on avait du se dire à l’époque : «Okay les gars, ce qui se passe à Cana, ça reste à Cana.»