Saviez-vous qu’un jour, votre cerveau pourrait bien se balader dans votre robot?
Pour la première fois de l’histoire, grâce à la société québécoise Victhom, les personnes amputées peuvent se procurer une jambe artificielle motorisée qui fait appel à l’intelligence artificielle pour s’adapter à un parcours donné.
Dernièrement, une équipe de l’Université de Washington est parvenue à la tâche très complexe de faire bouger la main d’une personne à distance grâce au cerveau d’une autre personne.
En 2009, Aimee Mullins, amputée d’une jambe à l’âge d’un an déclarait «Lorsqu’on me dit aujourd’hui qu’il me manque une jambe, je réponds qu’au contraire, j’en ai 12!» L’athlète handisport, actrice et mannequin américaine croit en effet qu’un jour, certaines personnes demanderont à être amputées volontairement afin de remplacer leurs membres humains par des machines super-puissantes.
Le futuriste, auteur américain, inventeur, futurologue, et directeur de l’ingénierie chez Google Ray Kurzweil croît que l’être humain s’approche de son immortalité. Décrit comme le «génie impatient» par le Wall Street Journal et comme la «l’ultime machine à penser» par le magazine Forbes, Kurzweil affirme que d’ici 2045, nous pourrons numériser les informations contenues dans notre cerveau.
En juin 2013, Dmitry Itskov, un entrepreneur russe qui dirige un projet de recherche appelé «Avatar», compte d’ailleurs offrir cette immortalité à des milliardaires américains d’ici la même année.
De leur côté, les neurologues Théodore Berger, Mikhail Lebedev et Alexander Kaplan sont aussi convaincus que, comme le tissu cérébral vieillit moins vite que le reste de notre corps,il sera bientôt possible de préserver ce précieux organe en le greffant dans une «capsule cybernétique».
Autrement dit: dans un robot.